Par un temps plutôt clément en dépit d'un fort vent, 51 personnes étaient présentes pour une triple visite.
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. En hors d'œuvre ce fut le château de Septême du nom de la septième borne milliaire de la voie romaine de Vienne à Milan, où nous fumes accueillis par Blandine Deron et son mari, en costumes du 15ème siècle
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Blandine est l'une des 68 descendants de Claude Albon, née Kergolay, et du comte Charles Louis de Kergolay, qui a repris avec son époux le château de ses ancêtres en 2018.
Après avoir admiré le château 15ème, 16ème siècles dans son aspect actuel, ce fut la visite proprement dite en deux groupes sous la conduite de nos hôtes. |
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La cour aux loggias, la cuisine, la chambre du comte, le petit et le grand salon, la grande salle avec un beau portrait de la duchesse d'Aubusson voisinant avec une tapisserie éponyme.
La salle à manger où le couvert était mis mais ce n'était pas pour nous.
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| C'est dans ce château, épargné par la Révolution en raison de la popularité du seigneur d'alors et du fait que les remparts de 1100 mètres de long enserraient une petite ville, que la nuit du 16 au 17 juillet 1564 accueillit trois rois et deux reines : Charles IX et Catherine de Médicis, les futurs rois Henri III et Henri IV et la future reine Margot accompagnés de leur cour de 15 000 personnes qu'il fallut bien héberger dans tous les environs. |
| La visite s'acheva avec la salle des gardes et les participants purent alors profiter du parc, de ses jardins et découvrir l'ancien fort d'origine carolingienne attesté en 1066.
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| De l'avis unanime, ce fut une très belle visite. |
| Le repas fut pris à Bonnefamille à l'Auberge Dauphinoise. |
La seconde visite eut pour cadre le château de Fallavier, ancienne forteresse des rois de Bourgogne, connu dès 877 par un édit de Charles le Chauve, propriété des Bocsozel puis du comte de Savoie, qui le fit reconstruire au 13ème siècle par son architecte, le maître de Saint Georges. De savoyard, le château devint dauphinois par suite du traité de Paris mettant fin aux guerres delphino savoyardes. Le château devint propriété de Jean d'Orléans, le futur comte de Dunois, seigneur de Claix, dès 1421 par suite de la donation faite au batard par le futur Charles VII. Ruiné dès le 17ème siècle, le château a été reconstruit en partie dans ses élévations dans les années 1970 par Gabriel Mérard avant d'être acquis par la commune en 1992.
Du haut du donjon, où le vent soufflait fort, on pouvait apercevoir Vienne et Lyon. |
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| La dernière visite se fit aux extérieurs de la maison forte des Allinnges, massif et austère bâtiment du 14ème siècle, jadis dépendance du château de Fallavier et aujourd'hui également propriété de la commune qui envisage de restaurer l'intérieur. |
| La journée s'est achevée par la traditionnelle photo de groupe, et nous sommes rentrés à Claix aux alentours de 19h. |
